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 Récit n°13

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2 participants
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Tieums




Date d'inscription : 26/04/2009

Récit n°13 Empty
MessageSujet: Récit n°13   Récit n°13 EmptyMer 21 Jan 2015 - 17:56

Récit d’aventure n°13
 
EPIDEMIE A THROALL
 
Maître de jeu : Bernard
Date de jeu : samedi 25/10/14 et samedi 17/01/15
Nom de groupe : -
Joueurs présents :
-          Errennot (Dominique)
-          Raziel (Benoît)
-          Radamel (Matthieu)
-          Luciole (Stéphane)
-          Modrouail (Gaëtan)
-          Anarion (Florent)
Points de Légende reçus : 2000
PNJ notables :
-          Foellerian : Humaine guerrière œuvrant pour J’Role en qualité de premier lieutenant.
-          Jada d’Uropa : Humaine Questrice de Garlen et membre de l’ordre de guérisseurs du « Foyer Béni ».  
-          Laedris Plomter : Humaine Questrice de Garlen, directrice de l’orphelinat de Throall. 
-          Gomu Lurap : Vieux Nain médecin émérite et reconnu, qui fut autrefois Nécromancien et Sorcier.   
-          Su Shen : Mystérieuse femme membre de la confrérie des « Filles de Cathay ».
-          Zalas : Humain Nécromancien.
 
 
RECIT DE L’AVENTURE
 
            Le 19 Veltom, alors que nous nous apprêtons à quitter la cité septentrionale de Frénudy, un Elémentaire d’Air nous apparaît pour nous avertir (de la part de Foellerian, première lieutenant de J’Role) que la situation ne cesse d’empirer à Grand Foire et Throall, l’étrange maladie se répand comme une trainée de poudre et notre présence est requise d’urgence sur place…
La Reine Faldiel propose alors de nous présenter une Questrice de Garlen qui saura peut-être nous aider et qui voue son existence à aider les malades aux quatre coins de Barsaive (comme ses confrères de l’ordre de guérisseurs baptisé « le Foyer Béni »). Nous acceptons et rencontrons sans tarder Jada d’Uropa, cette jolie et charismatique femme blonde aux yeux noirs, vêtue d’une longue robe arborant de nombreux symboles de la Passion qu’elle vénère : Garlen, garante de la Guérison, du Foyer et de l’Eau. Errennot lui expose en détail la situation : l’épidémie, la vision d’Anarion, la potion rouge pailletée d’or,…  Prenant cas du caractère crucial de l’affaire et guidée par son instinct inaltérable de philanthrope, Jada décide de nous accompagner en direction de la capitale.
 
Notre délagation quitte donc les terres froides et montagnardes de l’Empire de Scytha pour un voyage d’environ trois semaines à destination de Throall, que nous gagnons le 10 Charassa. Tandis que notre cohorte, menée par le furtif et aérien Luciole, emprunte les réseaux ténébreux et caverneux de la cité souterraine, un glyphe bleu s’illumine devant nous, annonçant une nouvelle fois l’apparition de l’Elémentaire d’Air envoyé par Foellerian et désireux de nous conduire jusqu’à elle. Poursuivant notre route, Modrouail et moi échangeons un regard entendu, notre analyse converge : les effectifs des sentinelles locales a sensiblement diminué depuis notre dernier passage…
Constatant l’ampleur gravissime de la situation (puisque les malades se comptent par dizaines dans les rues de Throall), nous rejoignons enfin Foellerian. Sans préambule, elle nous expose les faits :
- Le foyer d’infection de l’épidémie serait originaire de la ville voisine de « Grand Foire ». Sachant cela, sur ordres du Magistrat local (et paraplégique) Jorge Clystone, un mur a été érigé afin de tenter d’endiguer la propagation du fléau en créant une zone de quarantaine. Devant cette décision, la population du village marchand s’est rebellée, détruisant le mur, sur lequel Clystone a finalement été écartelé.
- En outre, le peuple prend Omasu comme responsable de cette catastrophe car selon la plèbe, ce maléfice est le témoignage de la vengeance de l’Empire Théran face à l’opération de rébellion instiguée par le légendaire Obsidien. Devant cette fronde, ce dernier a donc décidé de suspendre le recrutement de soldats au sein de sa garnison.
- Le bilan établi jusqu’à présent est d’environ 300 décès recensés et des milliers de malades. Selon le réputé médecin Gamu Lurap, il est à présent avéré que la contamination comporte plusieurs stades (menant à une mort certaine). Toujours selon ses déductions, l’épidémie n’est pas contagieuse, parangon du non-sens s’il en est… A l’énoncé de cette dernière information capitale, Errennot et moi manifestons une conclusion similaire : de là à ce que ce fléau ne soit pas naturel, il n’y a qu’un pas, aisément franchissable. Et s’il s’agissait des affres d’un sort aux allures de malédiction ?
- Au chapitre des tragédies, notons que la Questrice Laedris Plomter est elle-même contaminée. Aedrys Vrat (le Maître de Raziel) a été récemment emporté par la maladie, tandis que Murmure et Sylie Tristevallée (les Mentors respectifs de Errennot et Modrouail) sont gravement atteints. Quant au Grand Archiviste Merrox, il est au seuil de la mort…
Suivant mon instinct et obnubilé par ma théorie d’un maléfice d’origine magique (et nécromantique), je demande des nouvelles de mon Maître : Zalas. Notre interlocutrice me rétorque que le célèbre Nécromant a quant à lui disparu, désireux d’élucider seul cette étrange affaire…
Devant un tel énoncé, l’heure n’est pas aux réjouissances mais il convient d’agir vite, le deuil attendra. Nous décidons d’entamer un circuit urbain destiné à nous rendre auprès des différents protagonistes de cette affaire, dans le but d’éclairer nos lanternes et mettre un terme à cette ignominie…
 
Etape 1 : l’Orphelinat
Aux abords de l’édifice, les charniers se succèdent et les malades s’amoncèlent devant les huis, à la recherche d’un ultime espoir face à l’arrivée inexorable de la mort. C’est dans une ambiance funèbre que Laedris Plomter nous reçoit. Son faciès arbore le teint blafard des mourants en sursis, l’épiderme de son visage cerné est affublé de pustules rouge vif. Tout son corps affaibli porte les stigmates de la maladie foudroyante. Rapidement, notre conversation nous révèle un autre effet néfaste de ce maléfice : la perte progressive de la mémoire.  Nous lui présentons Jada et les deux consœurs décident d’unir leurs talents afin d’étudier la mystérieuse potion sang et or que je leur confie (et que nous pensons être la clé et le salut de la tragédie qui se joue au plus près du pouvoir Barsaivien). La maîtresse des lieux nous confie avoir reçu la visite de Zalas alors qu’il venait de se lancer dans sa quête solitaire, afin qu’ils puissent échanger quant à leurs conjectures. Le Nécromant lui a confié sa conviction quant à l’origine du mal, qui selon lui pouvait être une malédiction perpétrée par de sombres incantateurs dans les alentours de Throall. Selon Jada et sa connaissance des maléfices, un tel sortilège macabre la maîtrise de la Nécromancie à hauteur du Neuvième Cercle (qui n’est autre que le degré de puissance affiché par mon maître…). A l’évidence, Laedris est très affectée mentalement, se rapprocher chaque jour de la mort est pour elle une double peine. En effet, la tragédie funéraire traditionnelle que tout un chacun (ou presque…) subit le moment venu, s’accompagne pour elle du sentiment (encore plus douloureux) de subir le châtiment de Garlen dont les Questeurs sont d’ordinaires immunisés à la maladie.
 
Etape 2 : la Grande Bibliothèque
Un archiviste nous introduit auprès du Grand Archiviste Merrox. Nous avons le sentiment d’être introduits face à la mort, véritable incarnation de l’empreinte du mal (des pustules nécrosées recouvrent son corps dont les membres sont parsemés de tâches noires). Sa faiblesse, pire, son agonie sont criantes. Comme convenu, je lui remets les trois ouvrages en provenance de Scytha, dont il m’avait fait passer commande. Nous lui présentons le jeune Elfe Anarion, tandis qu’il nous confie avoir dû (par la force des choses) mettre en suspend ses recherches quant au Coffre d’Anesidora (qui aura peut-être été le sujet de sa dernière recherche)…
 
Etape 3 : la résidence du médecin
Sur les indications de Merrox (instigateur de l’installation de l’érudit au cœur de la cité, afin de faciliter son office de médecin-légiste), nous gagnons la toute proche maison de Gamu Lurap. Le vieux Nain nous reçoit et se montre rapidement curieux quant à notre nature d’Adepte, la variété de nos disciplines et nos origines raciales hétéroclites. Une fois installés dans son laboratoire (aux allures de morgues), je l’interroge au sujet de Zalas dont il a effectivement reçu la visite concernant la nature de l’épidémie. En qualité d’initiés, ils ont longuement échangés sur le sujet et mon Mentor souhaitait se rendre dans les montagnes de Throall afin d’y mener ses investigations. Celui-ci a refusé que Gamu Lurap l’accompagne, ce qui a intrigué (pour ne pas dire vexé) l’expérimenté médecin (qui de sa propre confession fut par le passé praticien des disciplines de Nécromancie et de Sorcellerie)… Concernant son étude des symptômes, Gamu nous confie n’avoir jamais rencontré de tels effets par le passé. Selon lui, il s’agit donc, soit d’un nouveau sortilège de Nécromancie, soit au contraire d’une malédiction jusqu’alors oubliée... Enfin, selon d’insistantes rumeurs, une dénommée Su Shen (membre de la confrérie des « Filles de Cathay ») serait en mesure de soigner ce maléfice mais malheureusement, nul n’a été en mesure de la localiser.
 
Etape 4 : la forteresse d’Omasu
Reçus par le charismatique et titanesque Obsidien, nous lui contons d’abord notre périple en Scytha, lui apprenant le fait qu’après de longues tractations et imprévisibles concours de circonstances, les trois factions guerrières de l’ancien Empire du Nord ont accepté de nous prêter main forte en envoyant leurs contingents en renfort contre l’envahisseur Théran.    
Ensuite, nous abordons le sujet le plus préoccupant actuellement, à savoir le fléau touchant la capitale. Interrogé au sujet de Zalas (dont le nom ponctue à présent chacune de mes phrases ou presque tant je sais qu’il est la réponse à toute cette affaire), il m’apprend avoir tenté de le contacter télépathiquement mais que la procédure a échoué, comme si le destinataire Nécromancien était endormi… Omasu nous apprend que le village de Gnigac (placé sous la coupe de Boré « le Flamboyant ») situé à quelques kilomètres de la capitale a connu pareil épidémie l’an dernier, avant que la propagation ne cesse aussi soudainement qu’elle était apparue). Enfin, selon lui, s’il s’agit bien d’une malédiction, les incantateurs sont nombreux, sûrement situés dans les montagnes (car doivent bénéficier d’un à-pic pour disposer d’une vue d’ensemble et plongeante sur la cité) et postés dans un rayon de deux kilomètres (pour être à portée suffisante).
 
            A l’issue de toutes ces moroses et entrevues, alors que notre groupe s’évertue à mettre de l’ordre dans toutes ces informations, pour ma part, une seule idée m’agite et m’obsède, retrouver Zalas et je sais à présent comment y parvenir…
Tout d’abord, je confie à Modrouail le soin de se procurer au plus vite un animal nocturne ailé. Malheureusement, le temps ne nous permet pas de compter sur ses talents de chasseurs et nous décidons d’acheter le volatile (pour une petite fortune d’ailleurs…).
Ensuite, à la nuit tombée, j’œuvre magiquement afin de tisser un lien de connivence entre la chouette et moi, avant de lui confier un message oral que je lui demande de transmettre au dénommé « Zalas », que le chasseur nocturne fera tout pour retrouver par instinct.
Alors que l’oiseau déploie ses ailes, désireux d’accomplir avec zèle sa mission, Errennot et Luciole (juchés sur le siège volant de notre Elémentaliste) le suivent au plus près, dans le but de localiser le Nécromancien.
Nous concernant, Raziel, Modrouail, Anarion et moi-même sollicitons sur le pouce un soutien logistique auprès de Foellerian. Celle-ci décide de nous accompagner (à la tête d’un groupe d’Adeptes expérimentés).
 
Après quelques dizaines de minutes d’ascension, notre stratagème porte ses fruits lorsque Luciole observe l’oiseau majestueux perdre de l’altitude avant de pénétrer dans une cavité rocheuse. L’instant d’après, mon contact mental avec la chouette se dissipe… Ce sombre présage témoigne au moins d’une certitude, nous sommes sur la bonne piste.
Une fois réunis aux abords de ce boyau rocheux placé sous la lueur blafarde de l’astre lunaire, Raziel décide de s’y enfoncer discrètement. Là, sous ses yeux éplapourdis, une scène édifiante se joue : une quinzaine de ritualistes (protégés par une vingtaine d’hommes en armes) sont disposés en cercle autour d’un autel central sur lequel Zalas, inconscient est attaché. Celui qui semble être le chef du culte et le maître de la cérémonie à venir, profère alors une allocution à glacer le sang d’un Elémentaliste du Feu. Son discours promet une mort prochaine pour tous les habitants de Throall à l’issue de leur rituel. Il précise vouloir sacrifier Zalas car celui-ci a refusé de les rejoindre dans leur office macabre. Enfant, comme pour conclure son monologue, il en appelle à la Mort elle-même. En guise de réponse, l’un des sectateurs déclare ironiquement (d’une voix féminine mais pleine d’assurance) avoir entendu l’appel de l’orateur et bien vouloir exécuter sa doléance. Elle lève alors sa capuche (laissant apparaître un visage au teint légèrement jaunâtre et aux yeux bridés) avant de toucher chacun des deux cultistes la jouxtant. Instantanément, ceux-ci s’effondrent littéralement sur le sol. La mystérieuse Su Shen s’est invitée à la partie, visiblement désireuse de glisser un grain de sable dans l’engrenage bien ensanglanté de ce mystérieux culte aux desseins peu engageants…
Pendant ce temps, notre éclaireur et lancier émérite a repéré une entrée naturelle en contrebas, menant au sanctuaire impie. Après avoir consacrés quelques secondes au tissage de plusieurs sortilèges (qui nous serons d’une grande utilité dans le combat homérique qui nous attend), nous nous ruons vers l’accès idoine, l’heure est à l’action,  « Compagnons, si vous le voulez bien, allons danser avec la Mort au clair de lune ».
 
L’instant d’après, l’assaut fut donné dans le corridor troglodytique menant au fief improvisé du culte nécromant. Dans la clameur des combats, les premières lignes se chargent rageusement et les armes s’entrechoquent. Nous concernant, nous sommes aux prises avec trois guerriers d’élite dont la peau est recouverte d’écorce. Après plusieurs minutes d’un affrontement éprouvant (au cours duquel Luciole, Anarion et Modrouail sont sévèrement blessés), nous parvenons à progresser et à arriver en vue du groupe de ritualistes funèbres. A notre grande surprise, la mystérieuse Su Shen se tient les bras en croix, nimbée d’une aura protectrice blanche la protégeant des coups répétés de deux guerriers ennemis. Alors que Modrouail finit par tomber sous les coups adverses, nous parvenons à obtenir un visuel de l’autel sacrificiel autour duquel se massent les Nécromanciens. Peu avant que nous ne lancions l’assaut, Jada nous interpelle et nous enjoint à quitter les lieux afin de fuir les graves conséquences que nous pourrions subir du puissant sort qu’elle compte incanter sans tarder. Nous refusons de faire marche-arrière et encore plus de baisser les armes face à la mort. Devant notre détermination, Jada nous sollicite alors pour lui porter assistance dans sa focalisation magique. A l’issue du Sort, apparaît une forme éthérée de plus de trois mètres de haut. Le colosse porte une lourde armure et manie une épée titanesque. La « créature » invoquée ne tarde pas à se ruer sur le meneur du culte macabre qu’elle détruit sans la moindre difficulté. Cette manœuvre nous mène à la victoire tandis qu’une « force » invisible (et dont l’origine nous est inconnue) nous soigne complètement de nos nombreuses blessures.
 
Le calme revenu, nous interrogeons la Questrice de Garlen quant à son invocation. Elle nous explique avoir conjurée une « Augure des Passions » (de Garlen en l’occurrence). Rapidement, nous constatons la disparition de Su Shen. A en croire Anarion (qui n’a pas participé à la focalisation du Sort de Jada), c’est elle qui nous a dispensé des soins magiques, avant de disparaître dans un grand éclat lumineux. Pour ma part, je m’attèle à libérer le grand maître Zalas.
Ceci fait, Foellerian supervise la fouille du sanctuaire rocheux ainsi que la gestion du matériel magique trouvé sur place. Citons : de nombreuses cottes de mailles, des épées, des baguettes magiques, un bouclier, une carte et un diadème. Avec l’accord de la guerrière responsable de la garnison, nous récupérons quelques objets porteurs d’une trame.   
Concernant l’affaire qui nous intéresse, Jada nous confie vouloir profiter de la pleine lune afin de pratiquer un rituel visant à dissiper les effets de l’épidémie frappant Throall et ainsi lever la sinistre malédiction.
 
De retour à Throall, nous nous rendons sans tarder auprès de J’Role afin de lui dispenser au plus vite les tenants et aboutissants de notre opération militaire salvatrice. Errennot prend la parole afin de conter notre attaque sur le fief montagneux colonisé insidieusement par le culte nécromant blasphémateur. Afin de saluer notre succès, « L’œil » concède à léguer tous les objets magiques découverts sur place à l’armée d’Omasu. En outre, l’ensemble des richesses découvertes sur place seront dévolues (avec notre accord) à indemniser les victimes de l’épidémie et à améliorer le sort des plus démunis.    
Pour ma part, je ne tarde pas à m’entretenir avec mon mentor. Zalas m’explique que le culte souhaitait l’intégrer parmi ses membres et que selon les dires de leur chef charismatique, Throall était condamnée car destinée à tomber aux mains des Thérans. Cette malédiction était en fait un moyen pour eux d’affaiblir considérablement les envahisseurs Thérans. En outre, tous les ritualistes étaient originaires de la cité de Landis et certaines réponses pourraient donc trouver des réponses sur place…
 
Après avoir menée le rituel, Jada revient auprès de nous. Sa manœuvre est couronnée de succès et nous constatons que peu à peu, les malades retrouvent la santé, expiant les symptômes de la maladie. C’est avec grand soulagement que nous apprenons notamment la guérison du Grand Archiviste Merrox.  
           
        
Extrait des « Chroniques Crépusculaires »,
par Radamel S’sobral « le Faiseur de Nœuds »

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Yoritomo Ujina

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Récit n°13 Empty
MessageSujet: Re: Récit n°13   Récit n°13 EmptyMar 24 Fév 2015 - 10:46

Pour une question de visibilité, je reste sur ce genre là.
Plusieurs m'ont dit que le parchemin n'était pas agréable à lire.

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Récit n°13 488749BannireUjina
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