Salon Intergame 1

Après la réponse de Toshiteru à la question de Tatsukarô, Maya regarda le jeune dignitaire impérial un court instant, comme indécise, puis baissa rapidement son regard vers le liquide verdâtre qui restait au fond de sa tasse.
Alors que les conversations reprenaient, elle constata que certaines tasses étaient vides, et entreprit de resservir la table en thé et en sake. [Rappel: il est très impoli de se servir à boire soi-même lorsque l'on est pas seul.] . Pendant qu'elle servait, elle fut prise d'un petit sursaut, comme un hoquet, et manqua de peu de renverser le flacon qu'elle tenait. Confuse, elle essuya rapidement les quelques gouttes tombées sur la table en s'excusant avant de retourner s'assoir.
Un peu troublée, Maya avala les quelques gorgées du thé vert qui restaient dans sa tasse.

[Ceux qui ont Intuition 3 ou plus peuvent remarquer que le naturel contemplatif de Maya semble parfois troublé : son visage se fige un instant, sourcils froncés, sans raison apparente ; son attention est soudainement détourné de ce qu'elle fait. Elle semble avoir sursauté quand elle servait, comme surprise par un bruit qu'elle seule entendait. ]

Maya observa la jeune et magnifique Kitsuki discuter avec les clients, son attitude semblant quelque peu l'intriguer.
[Pendant cette scène, certains d'entre vous peuvent remarquer que son regard semble se fixer vers un coin de l'établissement où il n'y a visiblement rien de remarquable. Ses yeux s'écarquillent d'étonnement un instant et, presque imperceptiblement, elle adresse un salut discret dans cette direction.]

Lorsque O-Zuke revint à la table et rédigea son second message, Maya se pencha pour le lire, intriguée, avant de se redresser un peu trop brusquement. Son regard inquiet se tourna rapidement du côté de la porte où était sorti le mystérieux shugenja du clan du Dragon, puis retourna aux kanjji calligraphiés.
Dans un souffle à peine perceptible, la gorge légèrement serrée, elle murmura.
Ils sont revenus...

Moi qui craignait  que cetain d'entre nous s'empate de le confort de la soie des salon de thé ou que nous puission tomber dans l'ennui, affectué à des taches peu valorisante, jeunes samouraï que nous sommes, voila de quoi garder affuté nos esprit, nos plume, et nos lame.

Natsumi sort un parchemin pour y recopier les notes de O-zuke

Je chercherai à la bibliotheque si ces phrases ont une signification particuliere

Natsumi sert un sake à Maya (peut importe les boissons consomé jusque la) et lui demande


Qui sont-il Maya-chan? Savez vous ce qu'ils vous veulent?

Le sourire habituel de Satsume a fait place à une expression plus austère, et une posture quasi militaire. Se frottant le menton il regarde les mots griffonnés par O-zuke:


"Le samouraï dont vous parliez portait les couleurs de la famille Tamori. Il était coiffé d'une natte parfaitement tressée ainsi qu'une barbichette. Je me souviens qu'il portait un wakizashi ainsi qu'une sacoche bien fournie et des étuis à parchemin. Il a prit le temps de m'adresser un salut courtois.
Ce qui est étonnant, c'est qu'il vous ai désigné par votre prénom avant votre gempuku, Yoritomo Ujina san. 
Quand à ces chiffes, sans le contexte, difficile des les interpreter.
Ces phrases ne forment pas un quelconque poème. "Le mal se cache souvent là où on l’attend le moins" cela m’évoque les événements que nous avons vécu lors de notre rencontre à la cité des rives abandonnées. 

Malheureusement, la citation "Le mal se cache souvent là où on l’attend le moins" peut etre associé a beaucoup d'individu.
Les Touji ont été nombreux, trop nombreux dans l'histoire de l'empire.

Se tournant vers O-zuke : 
dites moi cette idée de nous rassembler est une idée personnelle ou se pourrait il que l'on vous l'ai suggéré ?

(courant du 11 mouton, j'ai adressé une missive (mp) à certains d'entre vous. )