Très bonne question.
Je ne vous l'ai jamais joué car cela tiens plutôt de la fin de partie que du début de la prochaine. On a rangé nos affaires et ce ne sont des enchaînements de discussions qui n'ont jamais eu de véritables enjeux, jusqu'à présent.
En rentrant de mission vous entretenez le matériel réquisitionné avant de le rendre à l'arsenal, puis vous faites de mêmes avec vos armes, vous vous réapprovisionnez et vous vous faites soignez les blessures.
Toujours dans cet ordre afin d'être prêts au combat au plus vite. Sauf ordre contraire d'un officier, blessure critique qui vous enverra à l'infirmerie en priorité, et sauf pour le chef d'équipe qui fait un compte-rendu auprès d'un officier, inquisiteur ou serviteur/scribe.
Une fois ceci effectué vous réparez votre armure. Soit vous-mêmes, soit par un serf. Bien sûr les dégâts importants nécessitent toujours la délégation à autrui, à moins d'être Techmarine.
Pendant ce moment où vous avez quitté votre armure, il est courant pour les plus pénitent (au sens littéral) d'aller confesser auprès d'un Chapelain, ou Prêtre Loup pour les Space Wolves.
Après, comme vous revenez d'un monde dominé par le Chaos, la question ne se pose pas : vous y allez car cela s'accompagne de rites de purification prouvant que vous restez purs.
C'est donc votre chef d'équipe qui va rencontrer un Capitaine pour débriefer la mission.
Les distinctions sont attribuées après plusieurs jours, semaines, voire mois.
En fait le choix tel qu'il est posé n'existe que pour les joueurs en sachant ce que vous perdez dans un sens ou l'autre. J'avais besoin que vous vous rendiez-compte de ce qui est en jeu.
Selon votre choix votre personnage a l'impression d'avoir sauver le secteur, d'être un héros, ou pas du tout, de s'être fait manipuler par le un séide du Chaos dans sa guerre contre un autre.
Comme je l'ai marqué, le Chapelain n'aura pas à dire ce qu'il a appris : les autres Space Marines le comprendront dans son attitude, dans ses remarques à votre égard qu'il y a quelque chose de louche.
Une information importante : je me suis bien rendu-compte qu'il peut paraître futile de poser ouvertement la question.
A partir du moment où l'un de vous choisit de le dire au chapelain, il ne parait pas possible de faire autrement pour tous.
D'une part, on ne sait jamais, ceux s'étant déjà prononcés peuvent changer d'avis.
D'autre part, la prochaine fois je traiterais le sujet différemment. La question sera posée à chacun personnellement pour que ça garde tout son sel.