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 Seattle

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2 participants
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Shrekky
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Shrekky


Date d'inscription : 16/06/2005
Chronique d'Arhys : Maëllys De La rosa, Divine parole d'Haëroon.

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MessageSujet: Seattle   Seattle EmptyDim 31 Mar 2013 - 21:16

SEATTLE

Seattle. La Cité d’émeraude. Le premier métroplexe. L’unique port sur la côte Ouest, l’avant-poste des UCAS. Une culture, une histoire, une activité urbaine unique, coincées entre les Nations des Américains d’origine et l’écosystème prospère du Pacifique nord-ouest. Seattle est une destination privilégiée des voyageurs, que ce soit pour les affaires, pour un séjour touristique dans la ville, ou pour une visite prolongée de la nature sauvage environnante. Le métroplexe de Seattle s’étend sur près de 4 000 kilomètres carrés (ce qui en fait le second plus petit État des UCAS après Rhode Island). Il est divisé en dix districts, dont Seattle City, désormais désignée sous le nom de Downtown, et qui était autrefois la capitale de l’ancien État de Washington. Trois axes routiers majeurs – connus sous les noms de North, South et East Roads – entrent et sortent de Seattle, servant aussi d’artères principales drainant la majorité du trafic routier de la ville. Les North et South Roads suivent le tracé de l’Interstate 5, dont elles conservent le nom à l’intérieur même du métroplexe, même si elles n’ont désormais plus rien d’autoroutes inter-États. De même, l’East Road suit l’ancienne I-90, dont elle garde le nom dans les frontières du métroplexe.

> Seattle, cité des Ombres. Bienvenue dans notre version du célèbre Guide de Seattle de Living PlanetTM, une version que nous avons voulue délibérément plus « vivante » que ce qu’ont souhaité les éditeurs originaux, en zappant toutes les fabuleuses recommandations d’attractions touristiques, de tables familiales et amicales, ainsi que les listes des 10 endroits les plus romantiques ou les plus abordables de la ville. En fait, à la place, nous nous sommes concentrés sur le vrai métroplexe de Seattle : la cité la plus métissée, la plus tarée et la plus salope qui existe sur le globe. Une cité qui demeure le refuge de prédilection des shadowrunners et autres groupes marginaux du monde entier. Si vous voulez la version touristique, achetez (ou piratez) vous-même le Guide de Living PlanetTM. Si vous désirez, par contre, connaître la vérité brute sur ce qui se trame dans les Ombres de Seattle, alors vous consultez le bon doc. On a toutes les infos sur les acteurs notoires, et j’ai invité des experts locaux à venir baver ici. Amusez-vous, et utilisez ça bien.
> Fastjack


DOWNTOWN
C’est là que ça se passe
Downtown Seattle, aussi connu sous le nom de Seattle City, est le coeur même du métroplexe. Il n’est pas seulement le plus important district d’affaires de la ville, il accueille aussi de nombreux parcs, salles de spectacles, boutiques, musées, hôtels et restaurants, ainsi que toute une variété d’attractions locales, dont le front de mer et le marché, ainsi que certaines attractions plus populaires, comme la Space Needle. Il abrite aussi de nombreux exemples de la diversité culturelle très vaste du métroplexe, de l’International District à l’Elven District (le quartier elfe), en passant par l’Underground ork et le quartier de Capitol Hill. Vous pouvez aussi y voir l’Arcology Commercial and Housing Enclave (Enclave commerciale et résidentielle de l’Arcologie) ou ACHE, anciennement connue sous le nom d’Arcologie Renraku, l’un des plus hauts bâtiments au monde, ainsi que la spectaculaire pyramide Aztechnology. En fait, Seattle City a tant de choses à offrir que le Guide vous conseille de vous abonner à un service comme le Citywalk gratuit de GridGuide. Il vous apportera une aide RA utile pour vous guider et vous orienter vers les meilleurs itinéraires, afin de profiter au maximum de votre visite dans la ville en étant sûr de croiser les meilleurs sites sur votre chemin.

> Downtown, c’est « là que ça se passe » aussi dans les Ombres, du moins, dans la majorité des cas. Vous trouverez plus de runs se déroulant dans ce coin du métroplexe que dans tous les autres. C’est pas une surprise, car il y a ici au mètre carré plus de propriétés corporatistes, hautement sécurisées et hautement valorisées, que partout ailleurs. Même si, techniquement, Knight Errant a la pleine responsabilité de la sécurité et de l’ordre public dans les rues de la ville, Downtown est en fait un vrai puzzle, presque incompréhensible, de zones sécurisées corpos et de frontières extraterritoriales. Certains runners malins trouvent toujours le moyen d’échapper aux poursuites en traversant les bonnes frontières - comme s’ils entraient dans des ambassades ou des no-man’s-lands – mais franchissez-en une mauvaise, et vous vous retrouverez vite à devoir faire face à un danger plus grand que celui que vous fuyez.
> DangerSensei

BELLEVUE
High tech et grande classe
Par rapport à Downtown, Bellevue se situe sur l’autre rive du lac Washington. C’est le lieu de résidence favori des cols blancs, riches et propres sur eux, de Seattle. Même avant l’Éveil, les collines boisées et les vues sur le lac de la région en faisaient un endroit très convoité pour établir une propriété ou acquérir une demeure. Même si les jardins entretenus et les condoplexes ont remplacé la plupart de ces bois, Bellevue en a gardé une atmosphère de sérénité naturelle et toute la beauté architecturale. Prévoyez de consacrer une journée entière à explorer le quartier d’affaires de Bellevue et ses nombreuses boutiques. Les amoureux d’électronique se réjouiront de tout ce que ce quartier a à offrir. Car le hardware et le software matriciels forment toujours l’industrie principale de Bellevue, dont les boutiques affichent en vitrine les derniers commlinks, accessoires RA et autres gadgets connectés en date. Attendez-vous à y côtoyer aussi des créateurs de mode des plus courus, notamment par les clients versés dans les affaires. Le soir, profitez des nombreux restaurants et autres clubs réputés du quartier, que ce soit pour vous détendre avec un verre avant de vous coucher, ou pour commencer une folle nuit festive par des hors-d’oeuvre et des cocktails exceptionnels.

> Bellevue s’enorgueillit de son atmosphère « tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil », et peut aller très loin pour la réserver. Après tout, le district partage une longue frontière avec les Barrens de Redmond, marquée par une enceinte en plastacier, des barbelés monofilament et des drones de patrouille, pour s’assurer que les démunis restent de leur côté de la ligne. On regarde, mais on n’approche pas. Tout ce sur quoi vous posez les yeux à Bellevue n’est qu’un élément de la façade : des communautés renfermées sur elles-mêmes dans des dômes biofabriqués qui filtrent les toxines de l’air ambiant et absorbent tout ou partie des pluies acides ; des drones tranquilles qui glissent sur les pelouses rases et vertes ou qui chassent les papiers gras tout en gardant un oeil électronique sur
tout ce qui détonnerait dans le paysage. Tout le coin n’est qu’une simulation en réel de ce que devrait être une vie banlieusarde agréable.
> Glitch

> C’est là la clé pour s’en sortir à Bellevue : utilisez cette illusion à votre avantage. Aussi longtemps que votre apparence colle au décor, vous n’avez rien à craindre, car personne ici n’est disposé à venir gratter sous la surface. Bien sûr, si vous avez tout sauf le goût et la couleur d’un humain (même si les elfes ou les nains peuvent peut-être passer), vous n’avez aucune chance d’y parvenir. Sinon, abillez-vous et comportez-vous comme un citoyen modèle, et vous y serez comme invisible.
> DangerSensei

TACOMA
Le coeur vert de la Cité d’émeraude
Tacoma était autrefois considérée comme la voisine pauvre de Seattle, et sa forte activité industrielle aboutissait souvent à des moqueries du genre
« Tacoma aroma ». Depuis la formation du métroplexe, en revanche, Tacoma a connu un développement technologique et économique considérable, tout en sachant conserver son charmant centre-ville de début de siècle. Les visiteurs peuvent venir regarder les docks riches d’activité et les nouveaux centres d’affaires corporatistes, mais l’attraction principale demeure le centre-ville et ses nombreux commerces, dont le Tacoma Mall et Villa Plaza. Si vous arrivez dans le métroplexe par le train à grande vitesse, vous débarquerez à la Charles Royer Station, d’où vous pourrez sans mal planifier un après-midi à visiter Tacoma avant de bouger vers d’autres destinations à Seattle. De même, vous pouvez y attraper le train qui part vers le sud jusqu’à San Francisco, ou un taxi aérien pour l’aéroport Sea-Tac ou d’autres lieux dans le métroplexe. Les visiteurs intéressés par l’Histoire se réjouiront du quartier du centre-ville, où ils viendront peut-être se recueillir devant le Crying Wall, le monument édifié en hommages aux victimes métahumaines de la Nuit de la rage, créé par des sculpteurs orks et nains.

> Ce que le guide ne dit pas, c’est que la prospérité économique de Tacoma, en croissance durant la première moitié du siècle, connaît un long déclin depuis la fin des années 2050. Le canal du Nicaragua a détourné la plupart des navires du port, et les corporations se sont envolées vers de plus vertes contrées, délaissant les parcs de bureaux tout neufs, désormais vacants pour la plupart (à l’exception des éventuels squatteurs qui ont pu s’y incruster). Le district se concentre sur la conservation du « charme » du centre-ville pour plaire aux touristes, et ce en injectant de grandes sommes d’argent, alors que les ennuis couvent dans les coins les plus industrialisés de Tacoma.
> Riser

EVERETT
Ses bateaux, ses avions et ses orages
Le district le plus septentrional de Seattle a longtemps été réputé pour « ses bateaux, ses avions et ses orages ». Everett se situe sur la région la plus au nord du Puget Sound, longeant la rurale Snohomish et les terres du Conseil salish-shidhe. Il est connu pour abriter non seulement les chantiers navals d’Everett (de l’UCAS Navy), mais également l’usine de construction de Federated-Boeing. Comme le fleuve Snohomish traverse tout le coin nord-est du district, Everett a su conserver une beauté toute naturelle, et compte de nombreux sentiers de randonnée et des paysages dignes d’une forêt sauvage.

> Comme Tacoma, Everett était sur la pente ascendante jusque dans les années 2050, car les dirigeants locaux encourageaient l’exploitation corporatiste du coin. Mais leCrash de 2064 les a tous baisés : des fichiers entiers du cadastre et d’autres actes de propriété sont partis en fumée, créant un cauchemar bureaucratique qui court toujours presque dix ans après. Les militaires des UCAS sur place, soutenus par le gouvernement du métroplexe, ont résolu le problème en saisissant les terrains « contestés » selon la loi de préemption publique, et en calmant les corpos qui se plaignaient trop en leur reversant quelques biens. Les plus petits proprios ont souvent abandonné leur bien et quitté le coin, laissant les squatteurs emménager et en prendre possession. Puis arrivèrent les Triades, qui s’y installèrent pour accompagner le boum du marché de la drogue, des puces et du sexe illégal, fournissant une protection aux nombreux « salons de massage » qui poussaient comme des champignons.
> Riser

RENTON
Comme à la maison
Si Renton a la réputation d’être la banlieue résidentielle la plus somnolente du métroplexe, les visiteurs les plus malins ne s’y laissent pas tromper. Renton offre un environnement très plaisant, combinant beauté naturelle et architecture moderne, des communautés actives et de merveilleuses opportunités commerciales, que l’on peut dégotter dans les centres commerciaux, les boutiques spécialisées et les magasins de surplus qui parsèment le district. Celui-ci dispose de nombreuses collines et autres sommets verdoyants, comme Cougar Mountain et Tiger Mountain, ainsi qu’une chaîne de petits lacs de montagne.

> Les communautés résidentielles de Renton comptent parmi les zones les plus conservatrices du métroplexe, à égalité avec Fort Lewis et une partie de Snohomish. Ce district abrite le coeur de l’électorat et du support social (à ne pas confondre avec le support économique, centré autour de Downtown et d’Everett) du gouverneur Brackhaven. Les gars de l’Humanis n’enfilent peut-être pas leurs cagoules blanches en public pour foutre le feu aux populations qui les dérangent (du moins, plus trop ces derniers temps), mais cela ne signifie pas qu’ils sont partis pour de bon. En fait, ils ont troqué leurs draps blancs pour des costumes d’affaires, et lynchent les gens par le biais de mailing-lists, de forums publics et de réseaux sociaux. Personnellement, je me sens plus en sécurité dans les rues de Redmond la nuit : au moins, là-bas, tu sais à quoi t’en tenir.
> Butch

AUBURN
Construire le futur de Seattle
Auburn est le coeur industriel de Seattle, abritant beaucoup des nombreuses usines, raffineries et autres manutentions que comptent le métroplexe. C’est un district ouvrier, mais n’allez pas penser que, du coup, il n’a rien à offrir ! Auburn héberge aussi nombre d’attractions et de divertissements locaux, dont deux franchises de seconde division, en baseball (les Auburn Cardinals) et en combat urbain (les Auburn Rumblers), et des courses quotidiennes au Seattle International Raceway. Le soir, les restaurants, les bars et les boîtes de nuit du district participent largement à la vie nocturne du métroplexe.

> Malgré tous les efforts faits pour attribuer à Auburn tout le « charme » d’une banlieue ouvrière, le combat urbain a tendance à dépasser largement le baseball en tant que divertissement privilégié du district, et ça n’a rien de surprenant : la vie à Auburn est terriblement routinière. Les habitants du district assez chanceux pour avoir encore un emploi travaillent dans les nombreuses usines du coin, attelés à des tâches réservées normalement à des robots. Car la viande est toujours, dans de nombreux cas, meilleur marché que le métal, mais aussi plus facile à remplacer. Les nuits se suivent, on les passe en général à en vider quelques-uns dans le trou à ratslocal en s’abrutissant devant un truc débile à la tridi (ou à s’envoyer des puces à la maison), suivi peut-être par une de ces fameuses bagarres de bar occasionnelles ou par une partie de jambes en l’air avec un(e) partenaire inconnu(e). Puis, le matin, on se lève et on recommence le processus à zéro.
> Khan-A-Saur

> C’est aussi à Auburn que résident la plupart des orks et des trolls des classes inférieures du plexe, ce qui entraîne des tensions raciales accrues, rapidement attisées par deux verres après le boulot ou par un match tendu d’un sport viril quelconque. La Lone Star avait, à force, décidé de fermer carrément les yeux sur les relations interraciales du district. Knight Errant a un nouveau programme « de proximité », destiné à convaincre les autochtones que les choses seraient différentes s’ils participaient. Mais reste à voir si c’est bien autre chose que de la comm ou du buzz corpo. Qui prend les paris ?
> Ethernaut

SNOHOMISH
Seattle à la campagne
Même si elle est réputée pour son combat urbain, Seattle n’en possède pas moins de nombreux champs verdoyants. Snohomish est la réserve
céréalière du métroplexe. Le district héberge de nombreux sites d’aquacultures et autres fermes d’agrobusiness installées le long de le fleuve
Snohomish et dans les terres environnantes. Cette campagne agricole de Seattle est donc la destination idéale pour une petite escapade rapide hors de l’agitation du métroplexe. Vous pouvez emporter votre propre panier à pique-nique, ou encore en acheter un dans un des nombreux restaurants ou coopératives locaux. Les plus gourmands y trouveront de nombreuses opportunités de se restaurer ou de faire des emplettes. Si vous avez du temps pour visiter Snohomish, ne manquez pas le Blackstone’s Museum and Zoo, une attraction privée qui possède toute une variété de paranimaux, la plupart conservés dans leur habitat naturel et à portée de main. Un divertissement destiné aussi bien aux enfants qu’aux adultes.

> Snohomish est aussi le terrain d’affrontement des petits fermiers et autres partisans du retour à la terre, contre les gros de l’agrobusiness. Plus des trois quarts des fermes du district sont tenues par des agricorps, même si ce n’est pas toujours évident à première vue. Une grande partie des aquacultures qui bordent la rivière sont détenues pas des entreprises telles qu’Ingersoll & Berkley et Farm-the-Sea. Bien sûr, vous pouvez aussi rencontrer des croisements, avec des installations comme Aqua Arcana, qui possède un cahier des charges à la fois écologique et capitaliste. Quoi qu’il en soit, n’allez pas penser, à la lecture du mot « ferme », que vous n’allez rencontrer que des péquenots ou qu’il n’y a pas d’argent à se faire.
> Lyran

> En fait, vous avez bien à faire à des paysans à Snohomish, le genre de paysans à dégainer un shotgun et à enfiler une cagoule blanche quand trop de ces « autres » entrent dans le coin, que ce soit pour travailler la terre ou la protéger. On a rapporté de nombreux accès de violence à l’encontre des métahumains et des Éveillés ces dernières années à Snohomish et, malgré les nombreux efforts des activistes, rien n’indique que ça va s’améliorer à l’avenir. Faites attention à qui vous parlez et qui vous regardez là-bas si vos oreilles ne sont pas rondes.
> Tarlan

> Même si Snohomish produit une grande quantité de denrées alimentaires, il est loin de subvenir aux besoins du métroplexe. Seattle importe toujours une grande majorité de sa nourriture, un fait que les Nations des Américains d’origine et le gouvernement du métroplexe gardent bien en tête, des fois que des problèmes apparaissent.
> Mr. Bonds




FORT LEWIS
Des militaires et de la magie
Même s’il est traité comme n’importe quel autre district du grand métroplexe de Seattle, Fort Lewis est toujours une réserve des forces armées des UCAS, hébergeant la Garde du métroplexe, la base de McChord et le centre de commandement du Pacifique de la Joint Task Force Seattle (force) opérationnelle conjointe de Seattle) de l’armée des UCAS. Cela impliquequ’une grande majorité de la zone est interdite d’accès, même si des visites touristiques des installations militaires sont proposées. Contactez le Centre des relations publiques de Fort Lewis pour plus d’informations. La principale attraction touristique demeure, en outre, les Fort Lewis Zoological Gardens : des hectares de campagne sauvage parcourus de sentiers et parsemés d’habitats naturels pour une large variété de paranimaux. Des barrières invisibles à ultrasons et des tags RA gardent les animaux dans leur habitat et permettent aux visiteurs de les contempler dans leur environnement naturel. Vous pouvez passer un jour entier, si ce n’est plus, à parcourir les sentiers du jardin et ainsi admirer sa collection impressionnante, qui change légèrement durant l’année. Le jardin zoologique travaille en collaboration avec le Blackstone’s Zoo de Snohomish, échangeant avec lui des échantillons de sa collection.

> Même si ce n’est pas aussi intéressant pour les touristes, Fort Lewis est naturellement le coin du plexe où les Ombres sont les plus profondes et les plus obscures. Des opérations secrètes militaires ont lieu dans et autour de la réserve, et de nombreux intérêts internationaux, comme les NAO, le Tír, le Japon ou d’autres factions maintiennent une surveillance étroite sur les faits et gestes des petits soldats UCAS et de leur commandement central du Pacifique. Vous pouvez travailler à Fort Lewis, mais c’est rarement un run fastoche, tant les militaires jouent pour gagner.
> Pistons

> Il ne faut évidemment pas sous-estimer la valeur potentielle du jardin zoologique, que ce soit en termes de ressources que de cibles. Ils ont commencé comme une installation militaire UCAS dédiée à l’étude des formes de vie paranormales et Éveillées, et ils continuent à engranger un grand nombre de données qui, aux yeux de certains, ont une valeur indéniable ; et c’est sans mentionner la valeur de certains de leurs spécimens rares.
> Axis Mundi

> Puisqu’on parle de la valeur des spécimens, je connais un run qui visait à voler un aigle impérial du jardin zoologique et à le faire sortir de l’enceinte sain et sauf. L’équipe est arrivée jusqu’au point de rendez-vous, s’attendant à y rencontrer soit un mago excentrique soit un de ces Johnson d’une corpo R&D, ou même un membre actif de TerraFirst! au budget gonflé. En fait, c’est l’aigle lui-même qui les a remerciés pour leur aide, avant de s’envoler en leur laissant quelques plumes. Il semblerait qu’il s’agissait d’une sorte d’esprit piégé sous cette forme et retenu prisonnier, avec tout de même la possibilité de contacter un collaborateur à l’extérieur. Je suppose que ces plumes leur ont rapporté une belle somme.
> Lyran

REDMOND
La vie sauvage
Vous cherchez une expérience différente de votre visite de Seattle ? Descendez la 405 et prenez la sortie de Redmond pour entrer en terre sauvage. Si les autorités locales et les agences de voyage des UCAS vous déconseillent souvent de vous enfoncer trop loin dans ce district particulier du métroplexe, la frontière avec Bellevue qui suit le tracé de la 405 abrite les coins les plus chauds de la vie nocturne de Seattle, ainsi que d’autres commerces communautaires locaux dont les plus vieux ont désormais plus de trente ans d’âge. Assurez-vous tout de même de bien mettre à jour vos données Knight Errant sur le trafic et les événements sur place, via le réseau KnightWatch, avant de prévoir quoi que ce soit.

> Bien entendu, ce Guide ne parle que du quartier connu par les habitants de Seattle sous le nom de « Touristville », le seul endroit de Redmond sur lequel les étrangers posent les yeux, le coin où il faut aller pour avoir un avant-goût de la « vie sauvage » sans qu’elle ne soit trop sauvage ou trop réelle. Pour un coup d’œil plus réel sur le Barrens de Redmond, voyez les détails ajoutés à ce document.
> Butch

> Cette connerie sur les commerces qui « ont désormais plus de trente ans », c’est un moyen pour le Guide de faire référence aux déplacements de métahumains durant la Nuit de la Rage d’une manière qui ne froissera personne. Redmond possède une vaste population d’orks et de trolls, ainsi que de nombreux nains, qui fournissent beaucoup ce marché du « communautaire local ».
> Sounder

PUYALLUP
Une désolation splendide
L’éruption du mont Rainier de 2017 a dévasté une grande partie des terres qui forment aujourd’hui le district de Puyallup. Les courants de lave et les pluies de cendres abondantes du volcan ont dévié le cours de le fleuve Puyallup, balayé les bâtiments et créé la vaste plaine de lave qui recouvre désormais la région. Même aujourd’hui, Puyallup est encore victime de séismes occasionnels, de geysers ou de chute de cendres en provenance du volcan encore fumant. « Smokin’ Rainier » domine l’horizon de sa hauteur. La randonnée et le camping sur les champs de lave séchée de Puyallup sont permis, mais les visiteurs doivent signer une décharge à cause des risques que représentent les geysers, les mares de boue bouillante et autres dangers possibles... Pour les moins aventureux d’entre nous, des agences telles que Hell’s Kitchen Tours et Ashland Air propose des excursions aériennes spectaculaires au-dessus des champs de lave et des geysers, avec une vue (les jours de ciel clair) sur le mont Rainier et les territoires salish-shidhes au sud.

> « Désolation splendide » semble une description juste de Puyallup, même si le Guide le décrit comme n’étant rien d’autre que des champs de lave sans fin et des mares de boue. En fait, le district fait plus d’un millier de kilomètres carrés et compte près d’un demi-million d’habitants, pour la plupart SINless, et dont une grande majorité est formée de métahumains déplacés lors de la Nuit de la Rage. Tous vivent dans l’ombre d’un volcan actif qui peut entrer en éruption d’un jour à l’autre, et qui crache des tonnes de cendres et crée des rivières entières de lave en fusion dans toute la zone. Bien entendu, aucune de ces dures réalités ne représente une bonne « raison » de visiter le coin, donc qui s’en soucie ?
> Riser

COUNCIL ISLAND
Terres tribales et diplomatie
Vous n’avez pas à franchir les frontières du métroplexe pour goûter à la culture et à l’histoire des Nations des Américains d’origine : les deux sont à disposition au coeur même de Seattle, sur Council Island, au milieu du lac Washington. Le Traité de Denver céda l’île aux NAO nouvellement formées en 2018, et elle sert maintenant à la fois d’ambassade et d’enclave tribale au sein du métroplexe de Seattle. Le Conseil salish-shidhe entretient par ailleurs l’île comme une réserve naturelle, préservant sa faune et sa flore afin de permettre aux visiteurs de savourer cette vie sauvage non souillée, symbole de la culture des Américains d’origine. Les passes visiteurs et les informations touristiques sont disponibles dans la Grand Council Lodge.

> S’incruster sur Council Island peut paraître moins difficile que d’obtenir un visa pour les territoires shalish-shidhes, ne faites pas l’erreur de croire que vous pouvez y entrer et en sortir aussi facilement que vous le souhaitez. L’île toute entière est une ambassade étrangère, et les lois tribales s’y appliquent. Le personnel du Conseil prend la sécurité très au séreux. Comme il s’agit là d’une enclave paumée au beau milieu d’une puissance étrangère potentiellement hostile, on peut pas dire qu’ils ont le choix.
> Mika
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- L'Oeil -


Date d'inscription : 16/05/2012

Seattle Empty
MessageSujet: Re: Seattle   Seattle EmptyLun 4 Mai 2015 - 22:14

http://www.chinagreenelvis.com/gaming/tools/shadowrun/map/

Un petit lieu sympa pour localiser certains lieux et autres points d'intérêts.

_________________
Violence:
If it's not solving all your problems,
you simply aren't using enough of it
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Seattle
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