O.R.C.S. - Le Forum
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Toturi Toshiteru

Toturi Toshiteru


Date d'inscription : 22/03/2005
Localisation : Otosan-Uchi
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MessageSujet: Vivre à Rome   Vivre à Rome EmptyMar 10 Nov 2009 - 18:58

Rome, que ses habitants surnomment dès l’Antiquité la Ville Eternelle ou, en toute simplicité, La Ville, est bâtie autour du fleuve du Tibre, qui la parcourt du nord au sud. Elle s’étend à l’origine sur 7 collines, dont les Romains eux-mêmes ignoraient vaguement le nom, et est donc très vallonnée. Sa superficie a été gagnée sur les marais qu’il a fallu assécher, et encore se concentra-t-elle surtout sur la rive est du fleuve. Les Empereurs, mais aussi les Consuls et autres personnages importants de l’Histoire, voulurent laisser leur trace dans la pierre de la ville, et faire de Rome un symbole de puissance. La ville toute entière s’organise autour de ces lieux, et d’autres endroits moins prestigieux, mais tout aussi importants :

1 -Les Forums :
Le plus important, et le plus vieux, est le forum républicain, communément appelé forum romain. Il est le lieu de réunion privilégié du peuple, l’endroit où tous se retrouvent pour discuter, marchander, ou déclamer.

C’est là que se trouve la Curie, le lieu de réunion du Sénat : c’est le siège du
gouvernement de la République, et dans une moindre mesure de l’Empire. C’est là aussi que se trouve le temple de Vesta, où est perpétuellement entretenu le feu sacré de Rome, et les deux basiliques, continuellement bondées. L’un des lieux essentiels y est la Tribune des Rostres : sur cette estrade sont accrochés les Rostres des navires ennemis battus par Rome, et
de là, les orateurs s’adressent quotidiennement au peuple.

A côté de ce forum se trouvent deux forums dits impériaux.

Le premier est construit par César, même s’il n’est pas un Empereur au sens propre du terme, et achevé par Auguste. Au nord-est du forum républicain, il se compose principalement du temple dédié à Vénus, déesse protectrice de Rome.
Le second est construit par Auguste lui-même, autour d’un temple à Mars Vengeur suite à une victoire militaire. On y trouve une série de statues représentant les Romains célèbres de l’histoire, et la justice y est parfois rendue. Un mur de grande taille le sépare des quartiers d’habitation de Suburre, populaires et mal famés.

2 -Le Cirque Maxime :
Non loin des forums se trouve le cirque Maxime. Il est le lieu de loisirs principal de la Ville : avec ses 370m de long et 83 de large, c’est le plus grand édifice de l’Empire. En son centre trône un obélisque gigantesque, rapporté d’Egypte, et le sable de sa piste voit défiler presque quotidiennement des spectacles de toute sorte. Il peut accueillir jusqu’à 250.000 personnes, et la foule accourt pour assister aux courses de char, aux combats de Gladiateurs,
et aux chasses d’animaux sauvages.

Du coup, il est un lieu de rencontre apprécié : on peut y rencontrer des gens en toute discrétion, perdu dans la masse du public. Son défaut principal tient à ses gradins en bois, fragiles. Plusieurs incendies ont ravagé les installations, et à chaque reconstruction on a rajouté des places. Mais ces aléas n’empêchent nullement tout Rome de se passionner pour les fameux jeux du cirque…

3 – Les Camps Prétoriens :
A l’écart de la ville se trouvent les Camps Prétoriens, conçus pour abriter toute la légion en cas de besoin. Ils sont bâtis sur le mont Viminal, d’où ils surplombent tout Rome.


4 - Suburre :
Au nord des forums se trouve le quartier de Suburre. C’est un quartier d’habitations, principalement constitué de fragiles insulae dont la hauteur dépasse parfois allègrement les 25m. C’est un lieu où on évite de se rendre en règle générale : la population y est certes bigarrée, mais peu recommandable, et des brigands de tous bords infestent ses rues. Les services d’ordres locaux se résument surtout aux Vigiles, ces milices d’affranchis condamnés à explorer les coins chauds de la ville et à patrouiller la nuit. Les cohortes urbaines
ne s’y rendent que très rarement ; quant aux Prétoriens, ils ont parfois obligation de s’y rendre discrètement, car c’est de là que partent la plupart des complots et affaires louches.

5 – l’Emporium :
Le port de commerce de Rome. Constitué de centaines d’entrepôts, il voit
quotidiennement arriver d’Ostie des multitudes de vaisseaux venus déverser leurs marchandises sur la capitale impériale. Les navires amènent des épices venues d’Orient, des vins venus de Gaule, des oeuvres d’art venues de Grèce et d’Afrique, mais aussi des boisseaux de soie venus de Chine !

Cet endroit gigantesque est un véritable capharnaüm. Des caisses de toutes origines et de toutes tailles, des amphores gigantesques, et des escouades de marins agités peuplent l’Emporium jour et nuit. Et comme tout port important, il est également l’endroit d’où partent les trafics et autres contrebandes.

6 – les camps urbains :
C’est là que se trouvent les cohortes urbaines, la police de base de Rome. Concurrente des Prétoriens, elle est loin d’avoir le même statut, et se fait souvent déposséder des missions et enquêtes importantes par ceux-ci.
Ils sont plutôt petits, et bien moins protégés que leurs homologues, mais les Prétoriens y sont toujours très mal reçus : les légionnaires urbains supportent assez mal de se voir enlever leurs enquêtes…

7 – les Thermes :
Lieux de détente et de loisir, les thermes sont une véritable institution à Rome. La plupart des Romains, s’ils en ont le temps, vont se délasser et se reposer l’esprit et le corps dans ces bâtiments. Tous suivent le même fonctionnement : après un rapide passage dans les vestiaires, où il est conseillé de laisser un esclave surveiller ses affaires si on veut les retrouver au retour, on entre directement dans le vif du sujet avec les bains.

Il en existe trois types : bain froid (frigidarium), tiède (tiepidarium) et chaud (caldarium), à quoi vient se rajouter dans les thermes tardifs un sauna (sudatorium). Il va sans dire que le frigidarium connaît un succès limité ; les autres sont plus appréciés.

En ce qui concerne les activités internes, elles sont très variées. Tout un peuple de marchands et de pourvoyeurs de services hantent les lieux. On peut s’y procurer une bonne saucisse chaude aussi bien qu’un rasage parfait, et certains sont même pourvus d’une bibliothèque et d’un gymnase. Les thermes sont donc généralement assez bruyants, exception faite des endroits réservés à la lecture. Enfin, pour éviter les écarts, hommes et femmes sont séparés : chacun dispose d’une demi-journée en alternance.

8 – le Transtevere :
Ce quartier situé à l’ouest du Tibre est le plus petit et le plus isolé de Rome. Aux yeux des Patriciens et autres riches Romains, cette région de la ville est insalubre et peu engageante : ils estiment souvent qu’elle est encore marécageuse, et aucun ne s’abaisserait à y vivre.
C’est donc ici que se retrouvent les plus pauvres des habitants.
Le transtevere est le quartier le plus populaire de Rome, le plus plébéien. Souvent, les habitations n’y sont que des insulae, avec un très petit nombre de domus et aucune villa. Les prix exorbitants pratiqués sur l’immobilier dans l’enceinte de Rome ont exclu ses pauvres, contraints à se réfugier hors de la ville – de l’autre côté du fleuve.

Cependant, le quartier n’a pas la réputation de Suburre. Peu de problèmes surviennent dans cette zone résidentielle, au point qu’Auguste y a lui-même fait bâtir son Mausolée. Il s’agit donc plutôt d’une partie calme, mais pauvre, de la cité.
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Toturi Toshiteru

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MessageSujet: Re: Vivre à Rome   Vivre à Rome EmptyMar 10 Nov 2009 - 19:02

Habiter dans la ville

Rome, sous les Empereurs, est l’une des villes les plus peuplées du monde. On estime sa population à près d’un million d’habitants, dont une majorité de personnes vivant dans la misère. Un tiers environ de la population a à peine de quoi se loger, tandis que certains vivent dans des surfaces gigantesques.
Selon leurs revenus, les habitants de Rome logent donc dans trois types de maison, très différents :

La Villa
Réservée aux personnes immensément riches, la villa est une sorte de palais personnel. Installée en périphérie de la ville, ou même directement à la campagne pour échapper aux bruits et pollutions de la ville, elle peut s’étendre sur plusieurs hectares, et comprendre des loisirs raffinées et luxueux : théâtres privés, plans d’eau majestueux et autres gymnases ou bibliothèques ne sont pas rares dans ces lieux particuliers.

La Domus
C’est la maison traditionnelle romaine. Bâtie sur deux étages, elle est organisée en carré autour d’une pièce principale, l’atrium ; cette pièce contient traditionnellement un autel dédié aux dieux lares et aux pénates de la famille, et un réservoir pour recueillir l’eau de pluie,qui se déverse à l’intérieur par une ouverture pratiquée dans le toit.

On y trouve la plupart des conforts possibles : chambres nombreuses (cubiculum),
salle à manger (triclinium), jardin, bureaux, et pour les plus aisés, salle de bain avec eau chaude. La cuisine est assez rare, et ne se trouve que dans les maisons les plus spacieuses ; la plupart des Romains font venir leurs repas de l’extérieur.

L’Insula
Dans ces immeubles de bois, parfois montés sur plus de sept étages, vivent la majoritédes Plébéiens. Le confort y est rudimentaire – une ou deux chambres peu spacieuses – et l’insonorisation inexistante… le tout pour des loyers incroyablement élevé. Il n’est pas rare, du coup, que les Romains sous-louent leur appartement à d’autres personnes, en séparant
simplement les pièces d’un rideau de tissu. En outre, vu le matériau qui les constitue, les incendies dans les quartiers populaires sont souvent meurtriers, et ravagent des centaines d’habitations.


Les heures Diurnes

Eté:

-1ère heure: 6H00
-7ème heure: 12H00
-10 ème heure: 16H00
-12ème heure: 20H00

Hiver:
-1ère heure: 7H30
-7ème heure: 12H00 (seule heure fixe)
-10 ème heure: 14H30
-12ème heure: 17H30
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Toturi Toshiteru

Toturi Toshiteru


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MessageSujet: Re: Vivre à Rome   Vivre à Rome EmptyDim 27 Juil 2014 - 19:09

Les catégories sociales

Les Patriciens


Ce sont les nobles de Rome, qui se prétendent issus des 100 premiers habitants de la ville. Au début du développement romain, ils étaient l’élite, et régnaient sans partage sur la cité : les mariages avec des rangs inférieurs leur étaient interdits, et ils étaient les seuls à pouvoir assumer les postes du cursus honorum, la carrière qui menait à la tête de l’état. Sous l’empire, cependant, leur influence a fortement diminué. Le statut de Patricien est
principalement honorifique, et s’il ouvre les portes des meilleures sociétés, il est accordé à tous ceux qui ont prouvé leur valeur aux yeux de Rome.
Mais pour les vrais, ceux qui font remonter leur arbre aux grands héros fondateurs, cela n’est rien : seul le sang compte.

Les Plébéiens

Les Plébéiens forment l’autre partie des citoyens romains. A la base, le terme de plèbe désigne dans la ville les descendants des brigands, voleurs et vagabonds qui avaient été appelés par Romulus pour peupler Rome. Par la suite, cela a simplement désigné tous les citoyens qui n’étaient pas d’origine
patricienne. Les Plébéiens ont longtemps souffert de leur infériorité. De nombreux affrontements ont cependant amené leurs adversaires à leur accorder de plus en plus de droits et de pouvoirs ; leur situation se débloque réellement quand ils obtiennent eux aussi l’accès au cursus honorum, qui leur permet de défendre leurs intérêts au sommet de l’état. Par la suite, certains Plébéiens deviennent assez riches pour pouvoir s’assurer le soutien de Patriciens ; la barrière entre les deux castes s’efface ainsi peu à peu. Sous l’Empire, si la majorité de la plèbe est toujours dans une situation précaire, la dichotomie entre les deux a disparu en quasi totalité. Plus personne n’est condamné à un statut infamant pour la totalité de sa vie, et les mentalités ont bien évolué. 
Etre plébéien, ce n’est plus forcément être à la limite de l’esclave...

Les affranchis

Cette position peu enviable revient plutôt aux affranchis. Est affranchi toute personne ayant été esclave à un moment de sa vie, et ayant gagné, par un moyen ou un autre, une liberté méritée et reconnue.
Les affranchis sont une population croissante de Rome. Avec l’assouplissement des lois sur l’esclavage, et l’évolution des mentalités, les esclaves urbains font vraiment partie de la famille, et il n’est pas rare qu’un maître compatissant libère ceux qu’il apprécie vraiment. L’esclave ainsi libéré, après une cérémonie rituelle, change d’identité et prend comme surnom le nom de son ancien maître, afin de rappeler à qui il doit sa liberté. De même, il garde des rapports privilégiés avec lui, devenant son client, à qui on doit protection.

Il a un statut de quasi citoyen, mais ne possède pas tous les droits accordés aux Plébéiens et aux Patriciens ; seule sa descendance sera considérée comme libre et dotée de droits civiques complets.

Les esclaves

L’esclavage fait partie des fondements de la société antique. Le statut d’esclave se rapproche de celui du meuble : on peut le donner, le prêter, le vendre, et le mettre à la poubelle quand il est cassé. Longtemps, aucune poursuite ne sera engagée contre les maîtres d’esclaves battus à mort : c’est à eux, il en font ce qu’ils veulent. Le nombre d’esclave possédé par une famille peut-être gigantesque, et ce d’autant plus qu’ils ont spécialisés : entre l’échanson, chargé d’apporter le vin aux repas, le cuisinier, chargé de préparer les plats, et le pédagogue, qui s’occupe des enfants de la famille et leur fait réviser les leçons, il n’y a rien à voir.

Heureusement, avec le temps, les mentalités, encore une fois, évoluent. On en vient à devoir payer pour la perte d’un esclave, et les philosophes exhortent à les respecter, faisant valoir que eux aussi, sont des hommes. L’esclavage devient moins pénible, et certains sont même payés, ce qui leur permet de pouvoir racheter leur propre liberté. Enfin, sous l’Empire, les esclaves affiliés à l’administration, sans maître réel, ont un poste très enviable. Ce sont des fonctionnaires très bien payés, aux horaires peu contraignants, et à la responsabilité quelquefois immense...

La mode


Les hommes


Les vêtements


On se représente souvent le Romain vêtu d’une toge blanche, de jourcomme de nuit, été comme hiver. Celle-ci est bel et bien le vêtement
national : ce demi-cercle de 6m de diamètre est fortement ancré dans les
coutumes de Rome. Mais elle est très longue à draper, et peu pratique à
porter – bien que ses plis multiples permettent d’y cacher quantité de choses.
Elle est ainsi réservée aux grandes occasions.

On lui préfère donc généralement la tunique, tenue de tous les jours à manches courtes qui couvre les jambes jusqu’au genou. Au départ portée sous la toge, elle se généralise par la suite comme vêtement à part entière, principalement pour sa simplicité. Plusieurs tuniques, d’épaisseurs différentes, peuvent être portées les unes audessus des autres pour se protéger du froid.

Pour lutter encore contre le froid, les Romains disposent de plusieurs manteaux. Le premier est le pallium. D’origine grecque, c’est une grande pièce de tissu rectangulaire dans lequel on se drape, ou qu’on jette sur ses épaules. On peut également porter la lacerna, très à la mode au début de l’Empire, qui vient tout droit de Gaule. Cette pièce d’étoffe circulaire, de taille moyenne, est jetée sur les épaules et maintenue par une fibule pour couvrir le haut du corps. 
Enfin, la paenula est un manteau simple, très apprécié en voyage. Confectionné dans une laine imperméable, il consiste en un demi-cercle
que l’on noue autour du cou, et qui couvre le corps parfois jusqu’aux genoux. Il comprend généralement une capuche, ce qui permet de se protéger efficacement de la pluie... ou de cacher son visage.

L’apparence


Les Romains attachent toujours une certaine importance à leur apparence. Tout d’abord, il convient d’être glabre. Le tonsor est ainsi quelqu’un qui gagne bien sa vie : les citoyens se pressent tous les matins dans son office pour s’y faire raser, lorsqu’ils n’ont pas les moyens de se payer un esclave spécialisé. Le moindre poil facial est chassé avec acharnement : seuls les Grecs et les orientaux portent la barbe. Ensuite, les cheveux doivent être courts. Peu d’éléments de mode dans cette pratique : les hommes se contentent d’avoir une coupe régulière qui dégage le visage. Là encore, seuls
les Grecs et orientaux affectionnent de porter les cheveux longs, ce que les Romains considèrent souvent comme une marque de féminité.

Les femmes


Les vêtements


La femme romaine ne porte pas de toge, vêtement exclusivement masculin. Elle doit se contenter d’une tunique colorée, semblable à celle de l’homme, à ceci près qu’elle descend jusqu’aux talons. Par dessus ce vêtement, qui sert principalement de tenue de dessous, elle porte la stola, longue bande de tissu parfois très richement décorée, qu’elle drape autour de ses épaules et de sa poitrine. C’est d’ailleurs souvent le seul élément qui la différencie des autres femmes, puisque les tuniques n’ont guère de particularité. C’est pour cette raison que celles qui en ont le moyen accordent tant d’importance aux bijoux. Et surtout, à leur coiffure...

L’apparence


Les coiffures suivent une mode très versatile. Il est très difficile de se tenir à la page, et certaines riches Romaines ont plusieurs esclaves dont la seule fonction est, tous les matins, de les coiffer selon la dernière mode. Ces coiffures peuvent être extrêmement complexes, avec des étages, des rajouts, des armatures pour maintenir le tout... Il faut parfois plusieurs heures pour arriver au résultat escompté.
Heureusement, pour les femmes plus occupées et moins riches, la chose est bien plus simple : les cheveux sont souvent ramenés en chignon pour dégager le visage.
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